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Quelle différence entre une PAC air/air et air/eau ?

Chauffage
Publié le 
26
/
12
/
2025

Sommaire

Heading 2

L’essentiel à retenir

  • Choisir entre PAC air/air et PAC air/eau dépend des spécificités du logement, du système de chauffage en place et des objectifs (chauffage seul ou production d’eau chaude sanitaire).
  • Une PAC air/air capte les calories de l’air extérieur puis les restitue sous forme d’air chaud (ou froid, selon le modèle) à l’intérieur, idéale pour des habitations sans réseau de chauffage central.
  • Une PAC air/eau puise également dans les calories extérieures mais chauffe de l’eau pour alimenter des radiateurs, un plancher chauffant et parfois produire de l’eau chaude sanitaire : elle convient surtout aux logements équipés d’un circuit hydraulique.
  • Les deux solutions réduisent la consommation énergétique par rapport au chauffage classique, mais diffèrent en termes de confort, d’investissement de départ et de besoins de maintenance.
  • Le choix doit prendre en compte : type de logement, habitudes, budget, contraintes techniques et potentiel d’amélioration de la performance énergétique.

Comprendre les deux systèmes : principe et fonctionnement

Comment fonctionne une pompe à chaleur air/air ?

La pompe à chaleur air/air, souvent utilisée pour ses vertus en matière de chauffage et de climatisation, fonctionne selon un cycle thermodynamique bien connu dans le monde du génie climatique. L’unité extérieure prélève les calories présentes dans l’air ambiant — même lorsqu’il fait froid dehors — pour les transférer à un fluide frigorigène. Ce fluide circule ensuite jusqu’aux unités intérieures, généralement disposées dans chaque pièce à chauffer ou à rafraîchir. L’énergie est alors diffusée par ventilation, sous forme d’air chaud ou, en mode réversible, d’air frais pendant la saison estivale.

Ce type de pompe à chaleur ne nécessite pas de réseau de chauffage à eau. Elle s’installe aisément dans les bâtiments sans système hydraulique préexistant. Grâce à son fonctionnement basé sur la récupération d’énergie gratuite dans l’air, elle assure un confort thermique rapide, modulable pièce par pièce, et possède l’avantage d’un montage aisé avec un chantier assez court.

PAC air/eau : une solution polyvalente pour l’habitat

La pompe à chaleur air/eau s’appuie sur un principe similaire pour la captation des calories de l’air extérieur, mais la transformation et la diffusion de la chaleur s’effectuent par l’intermédiaire d’un réseau hydraulique. L’énergie collectée chauffe de l’eau, laquelle circule ensuite dans des radiateurs classiques, des ventilo-convecteurs ou un plancher chauffant basse température.

Beaucoup de modèles actuels sont capables d’assurer non seulement le chauffage de la maison, mais aussi la production d’eau chaude sanitaire, grâce à un ballon intégré ou accouplé. Cela en fait une solution très prisée pour les rénovations, où elle remplace avantageusement les anciennes chaudières fioul ou gaz tout en s’intégrant parfaitement au circuit déjà existant. Son installation demande toutefois une adaptation plus poussée, surtout dans les logements non équipés de réseau à eau.

Différences majeures dans la production et la diffusion de la chaleur

Chaleur diffusée : air soufflé ou réseau d’eau

Le mode de diffusion est sans doute le point de différenciation le plus parlant. Une PAC air/air chauffe ou refroidit l’air avant de le propulser directement dans les pièces à l’aide de splits muraux ou de consoles plafonnières. Chaque module intérieur fonctionne indépendamment : le confort thermique est modulable au gré des besoins et de l’occupation des espaces.

La PAC air/eau s’inscrit quant à elle dans la continuité du chauffage central traditionnel. L’eau chauffée alimente soit des radiateurs, soit un plancher chauffant, procurant une chaleur douce et homogène, particulièrement appréciée pour le bien-être quotidien. Cette solution permet également une certaine inertie thermique, la sensation de chaleur perdurant même si l’appareil s’arrête brièvement.

Multi-split versus réseau hydraulique : impact sur l’installation

L’installation d’une PAC air/air requiert l’ajout de modules intérieurs reliés à l’unité extérieure par des conduites de fluide frigorigène. Aucune transformation lourde du logement n’est nécessaire, notamment dans une maison dépourvue de chauffage central. Le chantier est rapide, avec peu de contraintes structurelles.

La PAC air/eau doit absolument être couplée à un réseau d’eau, qu’il s’agisse du circuit existant ou à poser pour l’occasion : elle ne peut chauffer l’air directement. Pour une maison contemporaine déjà équipée d’un plancher chauffant ou de radiateurs à eau, c’est un choix logique. Mais pour un appartement sans réseau hydraulique, le coût et la complexité du chantier peuvent s’élever significativement.

Performances énergétiques et confort d’utilisation

Rendement saisonnier et économies potentielles

Les deux systèmes partagent un objectif commun : diviser la facture énergétique par rapport aux équipements traditionnels. Le coefficient de performance (COP) mesure leur efficacité : plus il est élevé, moins l’équipement consomme de kWh pour une même restitution de chaleur.

En pratique, une PAC air/air affiche en général un COP de 3 à 4, signifiant qu’elle restitue 3 à 4 kWh de chaleur pour chaque kWh électrique consommé, sous réserve de températures extérieures clémentes. La PAC air/eau affiche quant à elle des rendements similaires, voire supérieurs dans certains cas, grâce à la meilleure inertie thermique de l’eau.

Sur la saison, ces systèmes permettent de réduire de 50 à 75 % la consommation liée au chauffage. La différence se joue surtout sur la gestion de la variation de température : l’air soufflé perd plus rapidement sa chaleur si la machine s’arrête, tandis que le réseau d’eau maintient la température plus longtemps.

Confort thermique et sensation dans l’habitat

Une pompe à chaleur air/air procure un effet immédiat – en quelques minutes – dès sa mise en fonctionnement. L’air chauffé arrive très vite dans la pièce où se situe le module intérieur, ce qui offre une flexibilité d’utilisation très appréciée. Toutefois, certains utilisateurs notent que la sensation de courant d’air, ou le souffle relativement sec, peut gêner, surtout lorsqu’on oriente mal les bouches de diffusion.

La PAC air/eau garantit quant à elle une chaleur enveloppante, homogène, sans déplacement d’air perceptible. Dans le cas d’un plancher chauffant, il n’y a même aucune circulation d’air : la chaleur remonte doucement, évitant les variations brusques de température et préservant l’hygrométrie ambiante.

Avantages et inconvénients pratiques de chaque technologie

Points forts spécifiques à la PAC air/air

  • Installation rapide et flexible : adaptée à tous les logements, même sans réseau d’eau.
  • Mode réversible : fonction climatisation intégrée, très appréciée lors des épisodes de canicule.
  • Pilotage pièce par pièce : chaque gainable ou split s’ajuste individuellement.
  • Investissement de départ généralement plus faible : coûts de fournitures et de pose modérés pour des configurations standards.

Cependant, elle présente quelques limites notables :

  • Absence de production d’eau chaude sanitaire : il faut un appareil complémentaire pour la salle de bains ou la cuisine.
  • Confort thermique légèrement inférieur dans certaines conditions : sensation de chaleur moins enveloppante, bruits éventuels liés au soufflage d’air.

Atouts et contraintes de la PAC air/eau

  • Intégration facilitée dans les logements équipés de chauffage central : la solution parfaite pour remplacer une chaudière vieillissante.
  • Chaleur homogène et durable : sensation douce, sans courant d’air.
  • Production d’eau chaude possible : certains modèles assurent la totalité des besoins du logement.
  • Éligibilité accrue aux aides financières : en rénovation globale, elle est souvent privilégiée.

Ses contraintes :

  • Installation plus lourde : circuit hydraulique indispensable, adaptation parfois complexe dans l’existant.
  • Coût initial supérieur : matériel et main d’œuvre plus onéreux, surtout en rénovation sans réseau d’eau préalable.
  • En mode rafraîchissement, efficacité moindre : le rafraîchissement par plancher ou radiateurs n’égale pas la climatisation directe.

Application concrète selon le type de logement et les usages

Logement sans chauffage central existant

Dans une maison individuelle sans radiateurs à eau ni plancher chauffant, la PAC air/air est souvent la meilleure alliée. Son absence de lien avec un circuit hydraulique élimine les travaux lourds, et le confort thermique se décline à la demande, pièce par pièce. Les logements récents ou bien isolés, où l’on souhaite coupler chauffage et climatisation, bénéficient particulièrement de cette option.

Rénovation d’un habitat avec réseau hydraulique

La PAC air/eau trouve toute sa pertinence dans une rénovation où le réseau de radiateurs est déjà présent. Elle prend le relais d’une chaudière gaz ou fioul, réduit notablement les consommations et permet de tirer profit de la régulation centralisée. L’ajout de la production d’eau chaude sanitaire renforce son intérêt, diminuant la facture énergétique globale.

Contraintes architecturales et environnementales

Certains contextes – logements collectifs, monuments classés, zones urbaines denses – restreignent l’installation d’une unité extérieure ou de splits visibles. La PAC air/eau, parfois installée en local technique ou en sous-sol, peut être plus discrète et respectueuse des contraintes architecturales. À l’inverse, la PAC air/air offre plus de flexibilité d’implantation en neuf ou en rénovation légère.

Le niveau sonore et la discrétion

Nuisances potentielles du groupe extérieur

Qu’il s’agisse d’une PAC air/air ou d’une PAC air/eau, le groupe extérieur est généralement le principal générateur de bruit. Les fabricants multiplient les technologies d’insonorisation, mais une consultation du voisinage reste sage, surtout dans les zones à faible densité ou les copropriétés. L’intensité sonore se situe autour de 40 à 50 dB(A), soit l'équivalent d’une conversation à voix basse.

Émissivité sonore à l’intérieur

Une unité air/air produit un léger bruit de ventilation lorsque les splits fonctionnent (en général 20 à 35 dB(A)), perceptible dans un contexte de silence absolu. Les PAC air/eau, elles, ne génèrent que le bruit discret de circulation d’eau, souvent imperceptible si l’installation est bien réalisée ou dans une chaufferie isolée.

Entretien, durée de vie et maintenance

Sérénité d’utilisation au fil des années

Les deux types de pompes à chaleur nécessitent un entretien régulier pour préserver leurs performances. Il faut nettoyer les filtres (surtout pour la PAC air/air) et faire contrôler le circuit frigorifique par un professionnel. La maintenance inclut la vérification de l’étanchéité, le dépoussiérage, l’inspection des unités intérieures et extérieures.

Pour une PAC air/eau, s’ajoute la surveillance du réseau hydraulique : purge éventuelle, contrôle des circulateurs et du ballon d’eau chaude le cas échéant.

La durée de vie moyenne d’une PAC bien entretenue se situe entre 15 et 20 ans, sous réserve d’un contrôle annuel et du respect des préconisations du constructeur.

Investissement financier et aides disponibles

Coût d’acquisition et frais annexes

L’investissement initial diffère sensiblement entre les deux systèmes. La PAC air/air affiche des prix plus accessibles, en particulier pour les petites surfaces (généralement entre 5 000 et 10 000 euros selon la taille et le nombre de splits). À l’inverse, la PAC air/eau revient plus cher : comptez entre 10 000 et 18 000 euros pour une solution complète, avec la pose et le ballon d’eau chaude, variable en fonction de la surface et du niveau d’isolation.

Éligibilité aux dispositifs d’aide

En matière de subventions, la PAC air/eau bénéficie d’une reconnaissance accrue de la part des pouvoirs publics. Elle est généralement éligible à des aides telles que MaPrimeRénov’, l’éco-prêt à taux zéro ou encore les Certificats d’Économie d’Énergie. Ces incitations sont souvent conditionnées au niveau de performance et à la qualification de l’installateur.

La PAC air/air ne bénéficie pas, ou très rarement, des mêmes dispositifs. Si le budget est un critère-clé, ce paramètre mérite d’être étudié en détail.

Régulation, programmation et domotique

Gestion intelligente du chauffage

La plupart des PAC air/air récentes proposent une télécommande, une programmation horaire et, sur certains modèles, un pilotage à distance via smartphone. Cette flexibilité facilite le contrôle pièce par pièce et optimise encore la consommation énergétique.

Les PAC air/eau intègrent généralement une régulation centralisée, pilotant la température de l’eau en fonction de la température extérieure (loi d’eau), avec des options de programmation hebdomadaire et une compatibilité croissante avec les solutions de domotique (passerelles, thermostats connectés, etc.). Cette gestion fine contribue à maximiser le confort tout en limitant les surconsommations.

Impact environnemental comparé

Transition énergétique et sourcing

Les deux pompes à chaleur exploitent une énergie renouvelable – l’air –, diminuant ainsi significativement les émissions de CO2 par rapport à un chauffage fossile. Ce bilan vert s’accentue si l’électricité utilisée provient d’une source décarbonée.

La PAC air/eau, éligible à la plupart des plans de rénovation, contribue pleinement à l’atteinte des objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. La PAC air/air, majoritairement utilisée en appoint ou en zone isolée, permet aussi d’introduire une part de renouvelable dans le mix énergétique, mais moins nettement dans la stratégie nationale d’amélioration de la performance énergétique des bâtiments.

Sobriété et recyclage

Au terme de leur vie, les deux systèmes exigent un traitement spécifique des fluides frigorigènes (en conformité avec la réglementation F-Gaz), et leur recyclage est de plus en plus encadré, via des filières spécialisées. La durée de vie équivalente pour les deux solutions autorise un bilan environnemental favorable, surtout en cas de recours à des pièces détachées et à un entretien préventif régulier.

Utilisations particulières : climatisation, plancher chauffant, rénovation

Climatisation réversible : un plus non négligeable

La capacité à rafraîchir l’habitat constitue un avantage propre à la PAC air/air. En mode réversible, l’équipement passe du chauffage à la climatisation en quelques minutes, ce qui s’avère précieux en période de canicule ou dans les régions méridionales. La PAC air/eau peut, sous certaines conditions, alimenter un plancher rafraîchissant, mais l’effet obtenu reste bien plus modéré, offrant plutôt une sensation de fraîcheur qu’une véritable climatisation.

Plancher chauffant : compatibilité et optimisation

Les utilisateurs de plancher chauffant plébiscitent la PAC air/eau pour sa capacité à maintenir une eau à basse température, parfaitement adaptée à ce mode de diffusion. La répartition douce de la chaleur dans l’ensemble du logement épouse le fonctionnement optimal du plancher hydraulique.

À l’inverse, la PAC air/air ne peut alimenter ce type d’installation, n’étant pas conçue pour chauffer de l’eau, mais l’air ambiant.

Adaptation à la rénovation : attention aux contraintes

La rénovation énergétique constitue l’un des principaux motifs d’installation d’une pompe à chaleur. Lorsqu’il s’agit d’un habitat doté d’un réseau de radiateurs, la PAC air/eau est la voie logique. S’il faut envisager de lourds travaux ou si la configuration architecturale ne s’y prête pas, la PAC air/air peut représenter une alternative, notamment dans les logements segmentés ou les extensions.

Critères de choix : comment décider entre air/air et air/eau ?

Bilan des usages et évaluation du bâti

Avant de trancher, il est indispensable d’analyser :

  • La surface totale et la configuration des pièces
  • La qualité de l’isolation et l’exposition au froid
  • La présence ou l’absence d’un circuit de radiateurs à eau
  • Le besoin éventuel en production d’eau chaude sanitaire
  • Les préférences individuelles en matière de confort thermique

Un diagnostic énergétique puis un chiffrage précis sont recommandés pour évaluer le retour sur investissement et les gains potentiels.

Anticiper la réforme énergétique et la valorisation du patrimoine

Le choix d’une pompe à chaleur s’envisage aussi dans la perspective de la revente du logement et de sa conformité avec les normes énergétiques à venir. La PAC air/eau, souvent mieux notée dans les bilans de performance énergétique, contribue à la valorisation du bien. L’installation d’une PAC air/air, quant à elle, offre une modularité bienvenue et peut séduire les acquéreurs en quête de flexibilité, surtout dans les zones où la climatisation devient un confort essentiel face au réchauffement climatique.

Questions fréquentes

La PAC air/air peut-elle répondre à tous les besoins de chauffage d’un logement ?

La pompe à chaleur air/air assure un chauffage efficace, notamment dans les maisons bien isolées ou les petits logements. Toutefois, elle reste moins adaptée dans les régions très froides ou pour satisfaire de façon centralisée de gros besoins de chauffage, surtout sans appoint électrique complémentaire. De plus, elle ne prend pas en charge la production d’eau chaude sanitaire, qui doit alors être assurée par un équipement séparé.

Faut-il privilégier la PAC air/eau dans une rénovation totale ?

Si le logement dispose d’un réseau de radiateurs à eau ou d’un plancher chauffant, la PAC air/eau est généralement recommandée lors d’une rénovation complète, en remplacement d’une chaudière. Elle offre une amélioration notable du confort thermique, une réduction substantielle des consommations et une valorisation du bien sur le marché immobilier. Elle facilite par ailleurs l’obtention d’aides financières pour la rénovation énergétique globale.

Quelles sont les limites du rafraîchissement avec une PAC air/eau ?

La PAC air/eau peut être utilisée pour rafraîchir un logement, principalement via un plancher chauffant réversible ou des ventilo-convecteurs adaptés. Néanmoins, la sensation de fraîcheur reste modérée comparée à la vraie climatisation d’une PAC air/air. Elle permet d’abaisser la température de quelques degrés mais ne remplace pas un système de climatisation lors des fortes chaleurs estivales.

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